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Une ville sans eau est femme sans psyché.
Lors, le miroir d'Autun, tel un lac de cratère,
Qu'anime l'hôte ailé de la héronnière,
Reflète des appas propres à m'aguicher !
A la porte d'Autun, le plan d'eau du Vallon, lac artificiel,  est alimenté par un ruisseau qui sourd de la montagne dominant la ville. Reflétant les monuments antiques de la cité deux fois millénaire, il est entouré de nombreux équipements de loisirs, tels ceux d'une station balnéaire, mais s'il est possible d'y baigner son asticot, par contre il n'est pas question d'y tremper son maillot, sauf  une fois l'an, lors d'un triathlon démontrant que la qualité de l'eau doit être cependant propre à la trempette...

A la porte d'Autun, le plan d'eau du Vallon, lac artificiel, est alimenté par un ruisseau qui sourd de la montagne dominant la ville. Reflétant les monuments antiques de la cité deux fois millénaire, il est entouré de nombreux équipements de loisirs, tels ceux d'une station balnéaire, mais s'il est possible d'y baigner son asticot, par contre il n'est pas question d'y tremper son maillot, sauf une fois l'an, lors d'un triathlon démontrant que la qualité de l'eau doit être cependant propre à la trempette...

Tag(s) : #Poésie
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