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A une heure où en France c'est la nuit noire, il fait encore grand soleil sur le Popocatepetl. L'image que je propose aujourd'hui du fameux volcan n'est pas parmi mes plus réussies, mes plus spectaculaires. Mais si je l'ai choisie, c'est parce qu'elle offre, atmosphère fréquente sous ce climat estival au cœur de l'hiver, une image embrumée de calme et de paix. C'est l'objet de ce petit billet, en cette période des vœux, je vous souhaite à tous, lecteurs fidèles, tous les bonheurs possibles, et surtout beaucoup d'amour et d'amitié, bien que les relations humaines aient eu à souffrir de la conjoncture.
De 2022 nous attendrons tous, bien sûr, la fin de la pandémie, ou du moins la possibilité de vivre avec sans trop de problèmes ni de souffrances. Et aussi, d'où mon illustration paisible évoquant le début du jour, les bienfaits d'une sérénité profonde en un temps qui hélas n'a rien de serein.
C'est ce mot sérénité qu'il nous faudrait tous cultiver pendant les 365 jours à venir, et avant même d'y parvenir, rien n'empêche de s'embrasser bien fort, sous le gui, ou sous un palmier, mais encore virtuellement bien sûr.