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Cinéma de l'environnement à Cuernavaca : « la bonne nouvelle c'est que le futur est entre nos mains »
Quand on vient de traverser l'océan à bord d'un véritable paquebot du ciel*, dont les hublots, révélant l'immensité de l'atmosphère et de l'étendue marine, incitent à se souvenir que, derrière la beauté apparente de l'espace, se dissimulent les maladies écologiques dont souffre, voire crève, notre planète, il est précieux de lire ensuite cette parole :
« Je veux que les jeunes de Mexico prennent l'initiative de combattre le changement climatique, la bonne nouvelle c'est que le futur est entre nos mains. »
Cette phrase motivante, c'était la conclusion d'un article du journal mexicain La Jornada évoquant le lancement du huitième festival du cinéma de l'environnement qui a lieu à Cuernavaca jusqu'au 24 avril avec pour invité d'honneur le docteur Rajendra Pachauri, qui fut le chef du groupe intergouvernemental d'experts sur le changement climatique, organisme qui a reçu le Prix Nobel de la Paix en 2007.
Dans la bouche du Dr Pachauri et dans le cadre du parc écologique Chapultepec de la cité de l'éternel printemps, un lieu dont nous sommes familiers, l'expression de la détermination citée plus haut prenait un sens tout particulier, à une heure de route de la capitale, Mexico, qui menacée d'étouffement, combat pour améliorer la qualité de l'air que plus de 20 millions de citoyens y respirent....
* Que je vais bientôt évoquer.