Comme chacun le sait, en ville, l'entretien des trottoirs, qu'il s'agisse d'en ôter la neige ou les "mauvaises" herbes appartient à l'habitant riverain.
Mais aujourd'hui il n'est pas recommandé d'agir chimiquement
Alors restent la binette et le râteau, outils sur lesquels tout le monde ne se précipite pas, ce qui donne le résultat photographié, pas laid, mais point si joli que ces marguerites des talus campagnards. Poussant spontanément elles aussi près d'Autun. Avec l'abondance des pluies, c'est même forêt vierge en ville.
Alors qu'en penser? Que garder cette végétation et ses inconvénients c'est manquer de civisme? Ou qu'au contraire c'est préserver une biodiversité indéniablement présente dans ces plantes folles parfois butinées? Mais la ville n'est pas la brousse... Les commentaires sont "tout verts"...