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Au revoir Brigitte !

Le plan d’eau du Vallon, du moins à Autun, c’était sa balade favorite. «C’était» car elle  ne reviendra plus y promener sa silhouette élégante, même en baskets...

C’est pourquoi Isabelle et moi avons attaché, à ce lieu privilégié, la mémoire de notre Brigitte, le tendre souvenir de sa maman et de ma femme chérie disparue le 28 décembre dernier.

Brigitte, dans sa modestie,  n’aurait pas aimé qu’on prononçât, la concernant, un éloge pompeux. Mais  elle aurait accepté qu’on rappelât son métier d’infirmière, exercé avec la passion de soulager ses patients. Avec respect, discrétion et même amour.

Son professionnalisme l’avait rendue lucide quand elle fut confrontée à la cruelle maladie mais elle se battit courageusement, sut faire face à la douleur, garda l’espoir et sut donner tant d’affection, de réconfort, à ses proches... Son professionnalisme lui permit aussi d’apprécier la qualité des soins et de l’accompagnement humain au CGFL de Dijon. Elle avait confiance dans l’équipe soignante.

Un bref portrait de Brigitte ne saurait passer sous silence son attachement pour le Mexique dont nous avons découvert beaucoup de merveilles en y séjournant à proximité de notre fille. Comme on ne saurait oublier de dire la tendresse qu’elle avait à Wirwignes pour nos bons gros chiens, berger allemand et trois terre-neuve ! Ils faisaient partie de l’aimable personnage qu’elle représentait...

Brigitte : un petit bout de femme sensible, énergique, psychologue et aimante  qui nous manque énormément... et dont l’absence dépeuple  (un seul être vous manque...) le petit lac autunois où s’est renouée une amitié entre le canard de Barbarie et le cygne blanc. Elle aurait aimé...

 

Contre le cancer

Cet article explique mon peu de présence sur ce blog pendant des mois ; il m’offre l’opportunité de dire qu’il est possible, par dons et legs, d’aider le CGFL dans sa lutte contre le cancer, qu’il est possible aussi d’éloigner la menace du cancer en ne fumant jamais sa première cigarette ou en renonçant à temps au faux-ami qu’est le tabac. Je lui en veux ! Ah ! Si ces mots pouvaient sauver ne serait-ce qu’une vie!

CGFL : centre Georges François Leclerc à Dijon

Tag(s) : #autun, #deuil
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