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Confinement volontaire ou obligatoire, cette forme de réclusion trouve une consolation quand le domicile s'ouvre sur la nature.

A l'heure nocturne, avant l'aube, où j'écris, l'hirondelle familière dort tout près de la porte-fenêtre de la terrasse, sur le nouveau fil à linge rouge qu'elle affectionne particulièrement.

Qu'il s'agisse de celle-là ou de ses sœurs, ces oiseaux n'ont pas peur de notre présence et on peut les approcher à moins d'un mètre.

Cela fait des années qu'elles  nous rendent visite, qu'elles jouent et se poursuivent, à basse altitude, dans le petit jardin, et qu'elles viennent passer la nuit en sécurité soit  sur une corde tendue, soit sur un piton dont elles apprécient le stable perchoir.

Par contre, contrairement aux roselins, elles ne semblent pas chercher à nicher, roselins qui après  une interruption paraissent vouloir s'établir à  nouveau sur la plateforme formée par le chapiteau d'un pilier de la terrasse.

L'oiselle vient de temps en temps au nid qu'elle a construit avec des éléments végétaux, le mâle chante à proximité,  mais nous attendons encore l'heureux événement, la ponte,  et dans ce but, nous évitons de les perturber.

Ils sont plus farouches que les hirondelles

Pendant ce temps là, aux heures chaudes, maître Lézard se balade de son trou en bord de pelouse à la buanderie extérieure, il fait son tour du propriétaire, se régalant j'imagine des insectes rencontrés un peu partout. J'espère qu'il aime les cucarachas ! Assez craintif il ne se laisse pas trop approcher, mais à quelques mètres de distance, nous voyons bien qu'il est gras comme un moine ce qui ne l'empêche pas d'être vif.

Bien que ce ne soit pas facile, tant il est rapide en ce moment, j'essaierai de lui tirer le portrait!

Hôtes à deux ou quatre pattes
Hôtes à deux ou quatre pattes
Tag(s) : #hôtes jardin
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