/image%2F0814297%2F20181114%2Fob_b9cb29_diego-rivera-jpgrrrrrrrrrrr.jpg)
Cette image du Popocatepetl en activité a de quoi faire peur, et pourtant ce n'est pas de l'activité volcanique que nous avons le plus à craindre. Malgré les torrents de fumées qui sortent du volcan photographié par le Cenapred, centre national de prévention des désastres, au Mexique, la part du volcanisme, en matière de pollution mondiale, est devenue faible, moins de 1% pour le CO2!
Actuellement, ce qui paraît particulièrement inquiétant, c'est la multiplication des incendies, notamment pour ce début d'année en Australie qui souffre de surcroît de canicule. Des incendies pires que le pire volcan.
Le bilan est dramatiquement meurtrier. Les dégâts aux milieux naturels, à la faune, à la flore, aux installations et à l'habitat sont colossaux ; ces incendies provoquent une intense pollution qui vient s'ajouter à celle des activités humaines, et qui accroît encore un effet de serre qui par la modification du climat, est à l'origine des incendies.
En gros nous sommes donc dans un terrible cercle vicieux et les nations devraient réellement, et ensemble, s'en préoccuper sérieusement au lieu de ne songer qu'à faire des guerres meurtrières. Un peu partout.
Il y a des moyens de prévention en ce qui concerne les incendies forestiers, mais encore faut-il considérer que leur mise en oeuvre est prioritaire.
Actuellement le Brésil est exactement à l'opposé de ce qu'il faudrait faire, tout comme les Etats-Unis dirigés de manière totalement inconsciente des vrais enjeux et de la responsabilité qui devrait être celle de la première puissance économique du Monde !
D.A.
