Certes ils roucoulent d'amour tendre. Mais je ne m'ennuie par d'eux au logis.
Dans mon quartier d'Autun, je suis bercé par ce chant toute la journée. Dans la proximité de l'homme, les oiseaux représentent la beauté de la nature, mais quand les volatiles deviennent envahissants, tous ceux qui « bénéficient » de leur encombrante présence voudraient que des mesures soient prises. Contre ces "rats ailés"...
En effet nous sommes parmi les citadins à proximité desquels les pigeons ont élu domicile. Outre le tapage qu'ils font dans la journée à piétiner sur les vasistas, ils déposent des fientes partout qui émaillent les vitres et remplissent les gouttières. C'est non seulement désagréable mais aussi peu salubre voire vecteur de maladies. Les plumes pénètrent par les fenêtres ouvertes. Alors que faire pour limiter des populations qui ne sont pas classées nuisibles,mais qui le sont, mais qui salissent les propriétés privées comme les trottoirs et monuments publics? Faut-il les fusiller, les empoisonner, les effaroucher, les stériliser, les piéger, les décourager avec des ondes ou des bruits ou encore des pics, les cuire aux petits pois ou supporter des populations croissantes qui ne sont plus du tout naturelles puisque inféodées et dépendantes de la présence humaine? Perso, je ne fais que poser la question, sans rien recommander.
Ce petit article ne vise pas à apporter des solutions mais à laisser la parole à qui en possède, dans les commentaires.
Alors trempez dans l'encre votre plus belle plume, de colombe par exemple, pour leur déclarer la paix, ou la guerre ! Roucoul, Rou-cou, Rou-rou ...