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Il y a au Mexique une grande proximité entre les vivants et leurs regrettés disparus ce qui se manifeste à la période automnale du Jour des Morts mais aussi au quotidien, l'image des crânes et des squelettes étant omni présente dans ce pays, ornant par exemple les t-shirts et souriant à chaque instant dans l'imagerie populaire telle qu'on la propose aussi à travers les souvenirs touristiques. Rien de macabre, en fait, dans tout cela... Mais en dansant, on s'entrechoque les tibias !
C'est lors de notre dernière excursion à Tepoztlan que j'ai saisi le dessin mural, de grandes dimensions, servant d'enseigne à un coiffeur, coiffeur (peluquero) en plein travail qui vous le remarquerez, bien que décharné, n'avait pas la boule à zéro !
Remarquez qu'il paraît que le poil, après le dernier souffle, continue à pousser quelques jours. Pas de chômage donc pour qui voudrait établir son salon dans un cimetière !
