Désolé mais je n'ai pas pu résister, l'autre matin (lundi dernier) à cette vue du Popocatepetl prise à 100 mètres de l'endroit habituel, la terrasse de la maison.
Je n'ai pas pu résister car régnait une atmosphère particulière, un calme infini palpable dans ce quartier résidentiel communiquant directement, par voie aérienne, par dessus la vallée, avec la cime, alors que trois cents mètres plus bas la grande ville commençait à s'agiter, comme toute grande cité, avec des dizaines de milliers d'hommes, de femmes, d'enfants se mettant en route, parfois fiévreusement, "comme un lundi" pour gagner qui le bureau, qui l'usine, qui l'école...
Mais de cette foule laborieuse, combien auront bénéficié du point de vue ou eu tout simplement le temps d'admirer cette merveille de la nature qui sait, d'un jour à l'autre, apaiser ou inquiéter, selon l'humeur de ses brûlantes entrailles.
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