Mon dernier article sur les taureaux du Charolais a semble-t-il beaucoup intéressé si j'en juge aux commentaires dont celui de Stef me recommandant de prendre un selfie en compagnie d'un bovidé mâle. J'y songerai, je publierai même le résultat éventuel bien que j'ai déjà eu, au Mexique, une occasion plus spectaculaire de photo en chevauchant un taureau qui, s'il était fort calme, était doté de cornes sur lesquelles je n'aurais pas aimé être empalé !
C'était, il y a quelques années, lors d'une belle fête colorée au village magique de Tepoztlan...et l'animal semblait familier de ce genre d'exercice, gagne-pain de son propriétaire. Par contre je ne me serai pas risqué sur les taureaux particulièrement vifs montés par des casse-cou lors d'un vrai rodéo du côté d'Ahuatenco, taureaux dont les cavaliers ne tenaient pas en selle plus de quelques secondes, huit pour les meilleurs... avant d'accomplir de jolis vols planés.
Cela dit, je suis très réservé quant à l'organisation de rodéos qui peuvent entraîner de grandes souffrances (selon ce que j'ai lu à ce propos) chez des animaux le plus souvent placides et bien mieux en pâture que dans une arène.