Si l'on situe le paradis au ciel plutôt que dans les profondeurs torrides de la Terre et si au matin comme au soir l'embrasement des nuées peut être enchanteur, il n'empêche que quelquefois leur rougeoiement prend d'infernales tonalités dignes des forges de Vulcain, ce que j'observe avec bonheur de ma fenêtre qui ne s'ouvre ici que sur les collines du Morvan et non sur le cratère du Popocatepetl, mais qui représente si la météo le veut un balcon sur d'intenses feux d'artifices célestes...