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Joyeux Noël, dans la paix et la fraternité !
A mes lecteurs inconnus, abonnés ou de passage, à mes amis virtuels ou non, à ma famille, à tous mes proches donc, j'adresse un message de Noël.
De cette belle fête à laquelle on peut donner un sens religieux ou trouver une origine païenne, qu'importe, l'essentiel se trouve dans le rapprochement amical et familial, la compassion envers les plus démunis, l'apaisement ou la trêve que la commémoration de la Nativité peut susciter.
Pour illustrer ce propos, j'ai choisi la photo d'une crèche toute simple de Cuernavaca, au Mexique, dans le quartier populaire de Tlaltenango, lieu de pèlerinage marial. Une crèche toujours dans l'attente de l'Avènement, car l'enfant, El Niño , y manque encore
Si j'ai choisi cette image, c'est parce que les petits moutons blancs me rappellent ceux qui, dans la crèche familiale, à Lille, représentaient chacun des 5 enfants de la fratrie. Ceux qui n'avaient pas été "sages", dans la journée, étaient éloignés de Jésus… Ça devait m'arriver...
Pour donner un peu plus de hauteur à mon propos, j'ai choisi de publier un message lu dans Ouest-France, le journal de ma région natale. Il s'agit des mots tout simples de l'évêque de Saint-Brieuc, dont je retiendrai que nous sommes faits pour être en paix les uns avec les autres : la connaissance plutôt que le soupçon, la parole échangée plutôt que les barrières qui séparent…
Cette pensée est bien celle que ce modeste petit journal voudrait transmettre, sans doute imparfaitement, au fil des jours.
Dans ce monde troublé, pour la fête de Noël et au-delà, je ne souhaite que la trêve et l'apaisement dont l'humanité a tant besoin. Alors, tous ensemble, en famille et entre amis, je vous souhaite à tous un joyeux Noël dans l'amour et la fraternité !
