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Après la sombre et sérieuse actualité de ces derniers jours, un petit sujet plus léger : la mise en évidence d'un article qui m'a bien plu dans la revue Rêvista de Mexico-Accueil.
Un peu à l'opposé de la tendance actuelle, il s'agit de la formation d'une fameuse et joyeuse « bande » de maris d'expatriées, et expatriés, se situant dans la vieille et historique tradition londonienne, inaugurée au 18e, des clubs absolument réservés aux messieurs.
Donc un club des maris d'expats, un espace dédié au sexe dit fort qui pourra ainsi se régaler à Mexico lors d'activités bien particulières et viriles comme la lucha libre dans les arènes, la triplette consacrée aux trois P, au pâté, au pinard et à la pétanque, le trekking à vélo ou encore des stages de culture œnologique (les bons vins sont nombreux en Amérique Latine, sans oublier la tequila et le mezcal)
Tout cela est évoqué dans le bon article de Philippe Escario, mais j'y ajouterai mon grain de sel : je suis presque sûr que les hommes de ces dames majoritaires à Mexico-Accueil finiront pas organiser une élégante soirée de gala où ils inviteront leur chérie, sachant bien que sans notre moitié, nous ne sommes plus que des demis, ce qui ne vaudra jamais les fines bulles du champagne...
Signé Dominique, prénom tant masculin que féminin !
