/image%2F0814297%2F20151101%2Fob_6a74cb_formule-1.jpg)
Documents : Saul Axel
Même si les sports mécaniques ne sont pas spécialement ma tasse de thé, force m'est de constater que pour nos amis mexicains, l'organisation à Mexico du Grand Prix de Formule 1 est un véritable événement et un bonheur, d'autant plus qu'une compétition de ce niveau mondial n'avait pas eu lieu en terre aztèque depuis 1992 : 23 ans, quand on aime, ça fait long.
Depuis samedi, ce Grand Prix où l'élite de la Planète est engagée a lieu à Mexico, au nord-est de la capitale, sur un circuit qui a la réputation d'être un peu bosselé, à cause des mouvements sismiques. Se trouvant de surcroît à plus de 2200 mètres d'altitude, il ne favorise ni la respiration des pilotes, ni l'oxygénation de leurs engins sophistiqués réglés au quart de poil. Ce parcours se trouve à l'autodrome Hermanos Rodriguez dont le nom rend hommage à deux frères pilotes mexicains de haut niveau qui ont trouvé la mort sur les circuits en 1962 et 1971.
A l'heure où j'écris cet article, le Grand Prix est en cours. Après les essais de la veille, lors desquels la vitesse de 364 km/h a été atteinte, Nico Rosberg sur Mercedes se trouvait en pôle position devant Lewis Hamilton, rude compétition entre les deux hommes
Selon notre « envoyé spécial » l'ami Saul Axel, présent en bord de piste, l'autodrome était ce dimanche « the place to be » le lieu où il faut être...
Parmi la foule enthousiaste on pouvait reconnaître de nombreuses célébrités, dont celles du show-business, se régalant du vrombissement des machines et aussi des nombreuses animations et concerts. Il est vrai que la plupart des spectateurs avaient du faire un gros effort financier pour vivre en direct l'événement, auquel bien des Mexicains rêvaient depuis longtemps.
C'EST FINALEMENT ROSBERG QUI L'A EMPORTE DEVANT SON PRINCIPAL RIVAL, voir le site du journal l'Equipe
https://youtu.be/gmQiCWNn02o