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Voici encore quelques perles de Cuernavaca, nues comme sorties de leur coquilles à l'instar de la Vénus naissante de Botticelli, qui se mirent – au carrefour des avenues Rio Mayo et Teopanzolco – dans la Fontaine de l'Eternel Printemps. Chaque jeune femme adopte une pose différente, à la fois naturelle et charmeuse, mettant en évidence des formes quasiment idéales à la fois fuselées et sensuelles, s'offrant au soleil levant ou aux plaisirs de l'eau, mais je laisserai à chacun le plaisir d'interpréter ces bronzes élégants qui ornent l'un des plus beaux boulevards, au cœur d'un quartier chic, de la ciudad de la eterna primavera, remarquant seulement que ces innocentes images auraient sans doute été censurées par le pudique Facebook, mais ne choqueront pas les gestionnaires d'Overblog, tout comme, au Mexique, la multitude des nus sculpturaux, sur la voie publique, n'offusque pas la pudeur pourtant bien réelle des autochtones.
En avril, et même bien avant, les beautés cuernavacenses se sont découvertes de tous leurs fils pour le plus grand bonheur des passants, mais attention, au cœur d'une intersection où le trafic automobile est incessant, il faut garder l'oeil sur les feux tricolores, dit ici « semáforos », tel un sémaphore offrant de bien jolis points de vue !