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La grève des pilotes défendant le maintien de ce que beaucoup considèrent comme des privilèges, vus leurs gros salaires, provoque la colère de très nombreux passagers dits « pris en otage » ce qui du reste est une formulation contestable, mais qui sont quand même obligés de différer ou d'annuler leur voyage. Courroux partagé par d'autres catégories de personnel de la compagnie qui à cause de la grève accumule les pertes et est mise en péril. Certes la grève est un droit dont il faut savoir user, mais sans abuser et j'ai expérimenté dans le passé qu'il faut savoir bien terminer, et à temps, une grève. La différence est qu'une grève de journalistes n'a pas les mêmes conséquences qu'une grève de pilotes. Je n'en dirai pas davantage n'étant pas spécialiste de ces questions et cet article n'est qu'un préambule à un intéressant reportage dont je donne ci-après le lien : il offre des pistes (pas d'envol hélas) aux voyageurs se trouvant dans la situation de se faire indemniser, et ce texte sera précieux à beaucoup, je vais même le conserver pour moi-même en archives, on ne sait jamais...
Si vous avez été victimes ces jours-ci d'un retard au décollage, merci de témoigner dans les commentaires !
Voici le lien et bon vol quand même
http://www.chrissandvoyage.com/indemnisation-avion.php
http://www.chrissandvoyage.com/indemnisation-avion.php
Copie d'écran du site de Libération, illustration de l'AFP