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Bien que j'aie pu poster cet article sur mon blog, je connais actuellement pas mal de problèmes avec mon fournisseur d'accès Internet et de téléphone à Cuernavaca, les coupures, plus ou moins longues, étant fréquentes.
Alors j'ai mené ma petite enquête. Et en voici la conclusion. Comme les Mexicains sont très soucieux de l'environnement, ils ont rendu plus écologique l'accès au Web, toute l'électronique sophistiquée le faisant fonctionner étant maintenant alimentée par des pédaliers de bicyclette.
Ils ont effet adapté à l'Internet ce qui se fait déjà - voir photo - pour l'alimentation des réserves d'eau qui se trouvent sur tous les toits du Mexique. Le moteur de la pompe est remplacé par la force humaine, ce qui outre l'indépendance énergétique permet de faire du sport et de prendre conscience, avec ses muscles, de la priorité environnementale.
Le moteur de l'Internet est donc mû maintenant par la force humaine, et comme les pédaleurs de mon fournisseur d'accès n'ont pas autant d'entraînement que l'auteur de ce blog, ils ont encore besoin de faire des pauses. CQFD.
Je précise, pour mes lecteurs mexicains, qu'il est de tradition, le premier avril, de faire des blagues que l'on nomme poisson, ce qui ne retire rien au caractère authentique de cette information...
Preciso, para mis lectores mexicanos, que es de tradición, el primero de abril, de hacer bromas que se nombra peces, lo que no retira nada del carácter auténtico de esta información...
Il ne vous reste plus qu'à traduire ce panneau exposé, parmi d'autres solutions écologique, au parc écologique de Cuernavaca