/image%2F0814297%2F20181114%2Fob_b9cb29_diego-rivera-jpgrrrrrrrrrrr.jpg)
Avant de poursuivre ma série sur les détails des maisons de Cuernavaca, détails qui semble-t-il plaisent beaucoup à mes aimables lecteurs (trices) je vous emmène à Tepoztlan, petite ville classée village magique. Je ne m'étendrai pas longtemps sur cette cité proche de Cuernavaca, au pied de hautes montagnes abruptes qu'on peut gravir pour aller au temple préhispanique du Tepozteco, trois cents mètres plus haut, car j'en ai déjà beaucoup parlé sur ce blog, pour en savoir plus mettre "Tepoztlan" dans mon moteur de recherche en haut de page et vous verrez... C'est superbe.
Mais je vous présenterai en images le jardin central du Zocalo de Tepoztlan autour de son kiosque à musique traditionnel, à deux pas du couvent cinq fois centenaire, et à la porte d'un marché très vivant. Il nous a semblé que ce jardin vient d'être mis en beauté ce qui le rend encore plus agréable. La curieuse statue photographiée représente le typique personnage carnavalesque du chinelo barbu (c'est ainsi que les paysans aux 19e siècle se plaisaient à singer leurs patrons espagnols). Le Zocalo comme ailleurs est le lieu de rassemblement de la population, le forum, l'agora... Forum non virtuel, quoique...car dans bien des villes on peut y trouver l'usage de la Wifi comme quoi les Mexicains qui savent conserver le charme ancien de leurs centres villes sont aussi des férus des nouvelles technologies.
Vu le climat l'ambiance est du sud, et si on n'y joue pas à la pétanque, on se plait à profiter des ombrages.
**********************
Je profite de cet article pour préciser, à propos de la mort du poète Juan Banuelos, voir précédente publication, que je si je n'ai pas encore trouvé le concernant d'infos dans la presse française, c'est sans doute parce que le poète, traduit dans de nombreuses langues, ne l'aurait pas été en langue de Molière. Je n'en suis pas sûr... mais si quelque lecteur de ce blog - merci d'avance - a des informations à ce sujet, j'en serai ravi, ne serait-ce que pour publier des vers de Juan dont l'engagement ne me laisse pas indifférent.
