Présentation inhabituelle sur ce blog, je commence mon article avec quatre photos d'un même site que vous constaterez très méridional et très naturel, voire sauvage.
Il vous montre la vallée, très encaissée, du Vidourle, un fleuve côtier plutôt séduisant, attirant de nombreux sportifs dont les amateurs de canoë et de kayak, qui prend sa source dans les Cévennes à plus de 600 mètres d'altitude, à Saint-Roman-de-Codières (Gard) et se jette dans la Méditerranée au Grau-du-Roi après être passé sous l'arche du pont romain de l'oppidum d'Ambrussum (intéressant à visiter).
Le Vidourle est caractérisé par des crues spectaculaires que connaissent bien les habitants de la ville de Sommières (pont submersible), mais quand il fait beau, c'est un cours d'eau paisible que fréquentent de nombreux baigneurs, lesquels doivent être très prudents car cette rivière, par endroits, est particulièrement profonde...
La particularité de cet article, c'est que les quatre photos précédentes sont en fait des éléments recadrés d'une seule, car quelquefois, quand on saisit un large panorama, il peut y avoir plusieurs images dans l'image originelle, que voici :

D'où l'utilité que le document d'origine soit en haute définition
Image originelle dont on peut extraire aussi une cinquième :

Ce cliché est pris de la hauteur, constituée de haute falaises calcaires, dominant la garrigue et le joli village de Villetelle qui par rapport à mon point de vue, se trouve sur l'autre rive.
De la petite route, on accède au site (dont je n'ai pas photographié les parois) par un sentier caillouteux parcourant une riche végétation typiquement méditerranéenne.
Voici également une image d'Ambrussum, évoquant deux mille ans d'histoire, prise il y a deux ans :

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Une découverte accomplie avec Manu qui voulait me montrer les rochers d'escalade qui ont été équipés à proximité d'une jolie grotte perchée, bel abri qui a sans doute du être habité aux temps préhistoriques. On y accède par un sentier caillouteux. Ce site d'escalade où de nombreuses voies sont équipées de pitons ancrés dans le calcaire dur présente des difficultés diverses, parfois très difficiles, sur les verticales et même les voies déversées.