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Alors que les suites de l'ouragan Harvey continuent à ravager Houston au Texas, alors que les médias publient des images terrifiantes, je trouve dans la presse, par exemple dans le Parisien, ce que l'on pouvait déjà subodorer : si le réchauffement de la planète provoqué par l'excès d'activités humaines n'est pas forcément la cause des ouragans et autres phénomènes météorologiques, il pourrait les rendre plus destructeurs.
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Les sécheresses extrêmes et les graves incendies, toujours plus fréquents, qu'elles produisent, pourraient bien avoir une origine identique.
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Et ceci est à mettre en parallèle avec l'attitude de Donald Trump face à l'écologie, avec son recul en ce qui concerne les accords de Paris et donc la lutte contre ces gaz à effet de serre qui promettent le pire à la planète Terre. Si l'on ne peut pas, aujourd'hui, attribuer directement et même indirectement à Donald Trump la responsabilité de ce qui se passe au Texas, par contre, dans l'avenir, on pourra se souvenir, et ce sera une page d'histoire, qu'un président américain, dirigeant le pays le plus riche du monde, ce qui induit des responsabilités, aura porté un mauvais coup à l'environnement et donc à l'humanité toute entière.
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Comme existe l'incrimination de crime contre l'Humanité, on pourrait désormais concevoir l'incrimination de crime contre la Planète à laquelle le mickey blond dirigeant un pays pourtant démocratique aurait bien du mal à échapper.
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L'humanité n'attend pas seulement, d'un président des Etats-Unis, qu'il porte secours aux victimes d'une catastrophe naturelle. L'humanité attend aussi qu'il fasse le maximum en matière de prévention, ce qui passe par une lutte active contre le réchauffement climatique. La majorité des scientifiques en sont convaincus.
