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Après l'article sur l'islamisme radical salafiste à Autun, le JSL met heureusement en évidence les portes ouvertes des mosquées et les dangers de l'amalgame
Le 7 janvier, voir cet article dans les archives, j'évoquais ici le risque d'impact regrettable de la une du Journal de Saône et Loire qualifiant Autun de point noir et de terre reconnue en ce qui concerne l'islamisme radical salafiste, à la suite d'un certain nombre de perquisitions dans la cité éduenne.
Il est donc tout naturel que je salue ici aujourd'hui la une de ce dimanche du JSL traitant des portes ouvertes des mosquées avec cette citation en titre : « Nous n'avons rien à cacher ». C'est bien, de la part de ce journal, de montrer les Scouts de France (chrétiens) assistant à une démonstration de prière, c'est bien d'évoquer le thé de la fraternité offert par les musulmans, c'est bien de contribuer dans ces pages à l'expression des musulmans qui veulent tordre le cou aux clichés de liens avec le terrorisme et de souligner, dans l'édito, les dangers de l'amalgame.
Les mosquées, par ces portes ouvertes, expriment la volonté de chasser les préjugés et les musulmans s'y désolidarisent de l'état islamique, voire s'insurgent contre, et s'y montrent unis contre le terrorisme, tout cela se trouvant en première, seconde et troisième page. Cela ne peut aller que dans le bon sens !
Une démarche positive que je reconnais donc ici, même si je n'ai pas trouvé en page locale d'Autun d'informations sur ce sujet dans le journal de dimanche. Un éclairage en phase avec les pages générales citées du journal dominical, ce jour-là précisément, aurait été bienvenu...
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